Collaboratif ne veut pas dire sans chef

Depuis l’avènement du Web 2.0, il est de bon ton de parler de collaboratif, de travail en équipe, de travailler en groupe, etc. S’il est indéniable que cela apporte de nombreuses satisfactions, que cette manière de fonctionner outre l’émulation permet d’ouvrir des possibilités insoupçonnées, je reste souvent dubitatif sur sa mise en place !

Je me suis fait cette réflexion suite à la lecture de différents articles (Vous savez ceux où tout est beau dans le meilleur des mondes, donc dans un monde où tout les individus sont égaux et où d’un coup de baguette magique tout fonctionne…. sur le papier !). Mais, encore plus, c’est une discussion avec mes générations Z qui sont toujours scolarisées qui évoquaient leur travail de groupe.

Du travail collaboratif à l’école

Commençons donc par la dure réalité du terrain de l’école. J’ai noté depuis longtemps maintenant l’attrait grandissant pour les travaux de groupe ou en équipe de la part des instituteurs des professeurs des écoles et des enseignants du secondaire ou du supérieur !

C’est un bon point (ou alors une bonne intention, allez savoir), désormais les élèves travaillent en équipe. De mon temps, cela n’arrivait jamais ! On était constamment seul (d’ailleurs, j’y reviendrai peut-être un peu plus loin sur les conséquences actuelles !

Donc, ma progéniture m’explique qu’effectivement, elles travaillent « souvent » en groupe de travail ! Mais, vous imaginez bien qu’il y allait y avoir un mais…. Mais, donc, personne ne leur a expliquer comment en travaillait en groupe. Oui, selon moi cela s’apprend…

La force de caractère des uns et des autres prend vite le pouvoir. Les « grandes gueules » sont ceux qui impulsent la direction et la qualité du travail… Ce ne sont peut-être pas les plus aptes dans le domaine.

Résultat, très souvent, ce n’est pas un travail d’équipe qui est rendu, mais le travail d’une personne, voir de 2 si le groupe est important ! Il(s) fait(font) le boulot à la place des autres. Le collaboratif ne devrait pas être l’arbre qui cache la forêt comme c’est trop souvent le cas !

D’expérience, je sais pour en avoir eu l’expérience comme enseignant que parfois on remarque le travail des uns et des autres, et, certains d’entre nous (la plupart) ne réagissent pas.

Il est urgent d’apprendre aux élèves (ou dans le monde de l’entreprise) ce qu’est un groupe de personnes, comment ils fonctionnent… Un peu de psychologie sociale pour comprendre qu’il peut exister des contestataires nés, des personnes qui seront toujours d’accord, celles qui suivront, celles qui suivent l’argumentation des uns et des autres pour choisir celui qui a la meilleure idée…

J’ai le souvenir d’un exercice que nous avions pratiqué en école de commerce lors de mes études… un débat sur un problème avec 2 solutions opposées mais aucune n’était fausse ! C’était édifiant sur les rapports dans le groupe !

Un responsable de groupe de collaboration

Mais, pourtant, à mon sens, il serait déjà simple d’appliquer une formule de base : désigner un responsable de l’équipe ! À lui de gérer les conflits internes au groupe. C’est une lourde responsabilité. Je sais. Mais, elle a le mérite de pouvoir s’adresse comme prof., comme supérieur hiérarchique un responsable à qui s’adresser pour savoir où en est le travail, comment les uns et les autres avances…

J’ai pratiqué cela à l’Université dans le cadre de projets tutorés ! Je nommais un responsable de projet et à lui de coordonner l’ensemble ! On me l’a reproché parfois (pas les étudiants curieusement) car, et j’en étais conscient, ce travail est « lourd », important dotant plus que le ou la responsable devait structurer et articuler le travail avec l’ensemble de la classe (une quinzaine de personnes).

Les années où nous avons mis en place ce système, nous avons obtenu de bons résultats (voir de très bons résultats au final). Les années où cela n’était pas organisé (Je n’ai pas toujours pu le faire, mais je ne m’étendrais pas sur les raisons 😉 Y avait-il un lien de cause à effet ? Je le pense !

En amont, je préparais rapidement les « responsables » à leur travail et j’avais l’honnêteté de les prévenir que ce ne serait pas de tout repos pour eux 😉 D’ailleurs, plus d’une fois, j’ai reçu des appels « au secours » pour leur venir en aide. Mais c’était aussi mon rôle !

Un responsable ne veut pas dire une unité obligatoirement. Il est tout à fait possible de diviser l’équipe de travail en 2, et donc avec 2 responsables, afin de voir quelle est la meilleure solution (je pense notamment à des méthodes de travail différentes ou des approches différentes). La collaboratif ne doit pas être un moyen de freiner la créativité qui manque tant en général !

Donc, oui, un chef est nécessaire… Les chefs de projets ont une raison d’être même à petite échelle !

Dernièrement, dans le monde professionnel, j’ai eu connaissance d’un projet un peu flou. La personne à l’initiative de ce projet semblait hésiter à en prendre la direction ! Les premiers résultats sont édifiants pour moi ! Le flou est devenu que chacun y voit le projet qu’il a envie, chacun essaye de tirer la couverture à soi… Je me demande comment le créateur va réussir à revenir à son idée de base ! Je prends le pari qu’il abandonne son projet !

De l’importance de la taille du groupe de travail et des responsabilités de chacun

Oui, nous nous vantons tous de faire du collaboratif, mais, je ne sais pas si vous avez remarqué que la taille de l’équipe à une importance 😉 Je vais prendre 2 exemples que je connais bien : Blog en Nord pour le premier et les Journées du Contenu Web pour le second.

À une époque, pour Blog en Nord, jugeant la charge de travail qui m’incombait trop importante, j’avais voulu ouvrir la structure (Dans la pratique, Blog en Nord est toujours une seule personne, moi 😉 même si j’ai vu apparaitre un groupe dans Facebook qui porte ce nom, avec une fille comme administratrice… Oups…

Bref, j’ai donc voulu ouvrir Blog en Nord me disant que ce que l’on ferait à plusieurs serait plus intéressant que ce que je ferais seul ! Mais, et c’est là l’une des limites, j’ai vu débouler des agences de communication qui voulaient surtout récupérer le nom à l’époque ! Évidemment, ce n’était pas mon but… et ce comportement m’a tellement écoeuré que depuis, j’ai continué seul 😉

Les journées du contenu web sont-ce qu’elles sont certainement par la légèreté de la structure ! Mis à part Nicolas Malo et Yann Kervarec avec qui je « travaille » sur le projet, il n’y a personne d’autre. Les décisions sont rapides à prendre et nous pouvons facilement discuter, nous opposer… l’un à l’autre…

Cependant, nous faisons un peu dans le collaboratif, mais pas sous la forme dont on l’entend régulièrement. Nous sommes constamment à la recherche d’idées, etc. Le groupe Facebook ainsi que l’écoute des participants pendant les 2 jours est énormément pris en compte….

Toutefois, les choix finaux sont toujours de ma responsabilité… Cela changera peut-être le jour où je passerai la main 😉

Cela m’amène à une autre remarque, travailler en groupe veut aussi dire prendre ses responsabilités. Ce n’est pas dire : «C’est le groupe qui a pensé cela» ou pire «C’est la faute au groupe». Autant le travail d’équipe peut être valorisant, enrichissant, créatif… autant cela peut-être un moyen de se rassurer parfois ou un moyen de masquer son incompétence, il faut le reconnaître (si, si, j’ai connu des personnes qui l’étaient, incompétentes, qui jouaient très bien ce rôle de participant à des groupes de travail et parfois s’en attribuaient les honneurs 🙂

Confusion entre partage et collaboratif ?

C’est là que j’en revient à mon aparté de tout à l’heure lorsque j’évoquais mes études où nous étions constamment seuls. Aussi, lorsque je me suis installé en travailleur indépendant, jamais il ne m’est venu à l’esprit de travailler dans un centre de co-working ou autres (on dit des tiers lieux désormais, c’est cela ?). Cela n’existait même pas dans les années 80.

Attention, je précise dès maintenant que je n’ai rien contre ces tiers lieux 😉 Au contraire.. Ce sont juste des remarques de ma part sur le sujet 😉

Peut-être que le fait d’avoir appris à travailler en solitaire pendant mes années d’études à fait que la solitude du travailleur indépendant ne m’a jamais ennuyé ! Pourtant, dès mes débuts professionnels, j’ai toujours cherché à « collaborer » d’une façon ou d’une autre avec des personnes de mon entourage, souvent en très petits effectifs 😉

L’arrivée du web 2.0 et de ces possibilités de découvertes et d’échanges m’a comblé de ce point de vue…. Mais je n’ai toujours pas l’instinct grégaire de rejoindre un lieu spécifique pour travailler, pour échanger à longueur d’année, pour confronter mes idées ! Je crois que pour beaucoup de monde il y a confusion entre collaboration (participation à l’élaboration d’une œuvre commune) et partage à ce niveau.

Je n’ai toujours pas l’impression que l’homme soit prêt à basculer dans le monde collaboratif dis en passant ! L’Homme est beaucoup trop personnel et égoïste pour cela ! Une œuvre commune, c’est bien, c’est beau.. je n’ai rien contre, loin de là puisque je l’ai déjà pratiqué. Cependant, au final, en général, on vient à se poser la question : qui tire les profits ? Le collaborateur ou celui qui détient les rennes ? Quelques expériences, ces dernières années, me font aussi me poser, de nouveau, ce type de questionnement de plus en plus souvent ! La même remarque pouvait s’appliquer en effet sur certains mouvements associatifs dans les années 70-80 !

Cela se complique encore quand j’écris qu’un chef est nécessaire pour qu’une collaboration fonctionne… Si le responsable n’est pas honnête intellectuellement, les lauriers lui reviennent… et rares, sont les personnes à la tête d’un projet qui font rejaillir les récompenses à leurs équipes !

C’est souvent l’un des arguments de ces lieux de rencontre et de travail ! Et en corollaire, je me pose souvent des questions sur la prise de responsabilités dans ce type de structures. Nos choix doivent être passés à la moulinette des idées des autres autour de nous (dans le mauvais sens du terme évidemment) !

Par exemple, la créativité. La créativité est-elle améliorée ou diminué par l’effet de la masse (les personnes qui nous entourent au quotidien lorsqu’ils sont « nombreux ») ? Je sais que pour moi (mais peut-être est-ce un fonctionnement personnel) les choses les plus créatives que j’ai pu « sortir » ont une émergence personnelle ou avec une autre personne… une équipe très réduite ! Une seule fois, quelque chose est sorti d’une « réunion » qui ressemblait plus à un brainstorming (donc, là, pour moi, c’est différent) composé d’une petite dizaine de personnes (et pour tout avouer, la soirée avait été passablement arrosée 😉

Mais au final, Steve Job, aurait pu créer son Apple s’ils avaient été plus de 2 ? Je ne le pense pas… où alors, si, à la condition qu’il réunisse autour de lui une équipe « sous ses ordres ». Là, je ne pense plus que l’on parle de collaboratif, mais de management d’équipe ! Remarquez, c’est ce qu’il a fait pour développer Apple 😉

Mise à jour le 16 avril 2014 : Je viens de retrouver ce cours sur le travail en équipe pour les étudiants ! Des pistes à suivre 😉

à table… les menus de la semaine ou comment d’une activité web 1 en arriver à une version web 2.0

Depuis pas mal de temps déjà nous avons instauré à la maison, le menu de la semaine 🙂 Cela offre plusieurs avantages : on évite les plats que certains n’aiment pas ou trop répétitif aux goûts des uns ou des autres, tester régu

à table… les menus de la semaine ou comment d'une activité web 1 en arriver à une version web 2.0

une de nos bibliothèques de livre de cuisine
une de nos bibliothèques d'ouvrages culinaire

Depuis pas mal de temps déjà nous avons instauré à la maison, le menu de la semaine 🙂

Cela offre plusieurs avantages :

  • on évite les plats que certains n’aiment pas ou trop répétitif aux goûts des uns ou des autres,
  • tester régulièrement de nouvelles recettes et de découvrir ainsi de nouvelles saveurs,
  • trouver une forme sous laquelle les uns ou les autres « mangent » tel ou tel aliment,
  • tenter de manger plus équilibré !
  • éviter les problèmes d’organisation selon la présence des uns ou des autres

Puisque nous listons l’ensemble des ingrédients nécessaires à nos recettes, nous préparons en parallèle notre liste de courses.

Avant l’arrivée du drive dans notre super-marché, on utilisait une trame de liste de courses imprimable. Depuis, le reste de la liste de course est soit manuelle (parfois prise en photo via l’iPhone), soit mise dans une liste sur le smartphone !

Mais revenons à ce planning des menus de la semaine.

C’est un travail collaboratif. Depuis longtemps les filles participent. Chacun dans son coin recherche les recettes qu’il préfère en fonction de ses lectures, de ses goûts, de ces découvertes… Nous disposons d’une base de données issue en partie des groupes de news (cela ne nous rajeuni pas) et notre bibliothèque de livres et de revues de cuisine c’est également ouverte à des sites internet 🙂 Non, content de cela, régulièrement à la bibliothèque municipale, nous empruntons des livres de cuisine ! Bref, vous l’avez compris la « bouffe » à la maison, c’est important.

Aussi, chaque semaine, nous nous réunissons, petits et grands, pour mettre en commun nos trouvailles 🙂

Le menu est affiché en évidence sur le réfrigérateur… avec la sources de la recette et nous nous transmettions les recettes à faire les uns aux autres… via le courrier électronique.

Mais depuis quelques temps… et vous allez voir comment on arrive rapidement au web 2.0, nous stockons l’ensemble des recettes issues du net sur Evernote (un effet collatéral à l’emploi par ma fille de l’utilisation en cours d’Evernote, mais j’y reviens dans les prochains jours). Puis, pour plus de facilité une photo de la recette, notamment lorsqu’elle provient d’un livre emprunté à une bibliothèque ou si nous trouvons une recette dans une revue dans une salle d’attente, par l’iPad ou l’iPhone qui nous suivent partout ou presque .

La dernière étape était la mise en place des menus directement dans Evernote avec les liens associés vers les recettes ! C’est chose faite. La lecture de l’article du Tumblr d’Evernote en Français : Le Saviez-vous : liens de notes et comment les utiliser m’en a donné l’idée 🙂

Du travail collaboratif au partage, il n’y a qu’un pas vite franchi… Si nous devons le partager entre nous, pourquoi ne pas le partager avec « les autres ». En plus, le blog la cuisine de mémé Moniq – La cuisine par les enfants pour les enfants, qui est le travail des filles au sein d’oe dans l’eau (houps, j’ai quelques problèmes avec le BuddyPress) n’attend que de nouvelles publications.

Nous avons donc testé ce week-end les liens d’Evernote, la possibilité d’exportation d’une page en html… et voilà désormais, nos menus de la semaine passée seront disponibles dans la rubrique Menus.

Comme souvent, le passage d’une version 1.0 à une version web 2.0 d’un comportement familial (idem en entreprise) n’a pris pour ainsi dire que le temps de la réflexion… Un copier-coller du code html d’Evernote vers WordPress ne prend pas beaucoup de temps.

Restera à mesure le ROI 😉 Le nombre de visites sur le site que cela engendrera, la découverte du site cuisine de mémé Moniq ou de oe dans l’eau, les éventuelles remarques des uns et des autres, les échanges qui s’en suivront, éventuellement les rencontres, le fait que les filles, ma femme et moi aimons la cuisine… et qui sait encore quoi d’autre.

Gagnants du livre Flickr, on s'y retrouve !

Le jeu pour gagner un exemplaire du livre Flickr, on s’y retrouve se terminait à minuit.

Les gagnants sont dans l’ordre :

  • Perrine Campan avec 17 recrues au total
  • Aline Mougel – 16 recrues
  • Thierry Fabbro
  • Gilles Dognon
  • et Maïté Chamerois qui totalise en cumul 6 personnes recrutées…

Une mention particulière pour Christophe Pelletier battu sur le fil !

Félicitations aux gagnants qui recevront prochainement leur livre Flickr, on s’y retrouve dédicacé et à tous d’avoir participé. Cela ne vous empêche pas de continuer à parler de ce livre sur Flickr autour de vous et de suivre l’actualité de Flickr, des trucs et astuces… dans le groupe Facebook : Flickr, le livre en français ou le groupe Flickr, le livre en français dans Flickr puisque je poste mes trouvailles dans les deux groupes. Le fil d’information est également présent dans une rubrique sur les z’ed Netvibes 😉

des vélos Yahoo pour Flickr

Le 17 septembre dernier, dans les groupe Flickr dans Facebook et Flickr, j’annoncais que pour la campagne Purple Pedals dans le cadre du start wearing purple, Yahoo a envoyé des vélos équipés de GPS et d’appareils de prise de vue qui prennent des photos automatiquement toutes les 60 » et les envoient sur Flickr !

Comme je n’ai pas eu d’écho depuis… je retente ma chance sur ce blog !

On peut déjà découvrir :

En europe, seuls le Danemark et la Grande-Bretagne seront présentes 🙁

Si vous voulez voir à qui ressemble les vélos, c’est .

Cela nous donne un bon aperçu de ce que pourrait être la photo de demain. Même plus besoin de déclencher 😉

Je peux désormais ajouter que le blog Flickr (version anglaise) en parle seulement aujourd’hui (aucune infos pour l’instant dans le blog Français) !

Il est urgent de vous inscrire aux groupes Flickr dans Facebook ou sur Flickr si vous voulez suivre l’actualité de l’image numérique en réseau 🙂

Pour aller plus loin au sujet de Flickr

Flickr users

Pour ceux qui veulent aller plus loin au sujet de Flickr et compléter leur lecture de Flickr, on s’y retrouve, notamment dans ces aspects recherches… voici quelques PDF en ligne dont la plupart sont des articles d’universitaires 🙂

C Berkeley School of Information)

Cette liste de document est issue d’une recherche avec pdf-search-engine 🙂

L’image d’entrée de ce billet provient du blog soldierant http://soldierant.net/archives/uploads/2005/10/Flickr-10242005.pdf

Flickr, mode d'emploi et plus

Depuis quelques jours, comme je vous l’ai annoncé dans le billet Livre sur Flickr en Français le livre Flickr de la collection On s’y retrouve ! (ed.Pearson) est disponible.

Hier soir, avec l’auteur de MySpace, on s’y retrouve, c’était d’ailleurs soirée dédicace 🙂

En effet, si le livre FLickr était visible et à la vente sur Amazon ou la FNAC, depuis la liste des distributeurs en ligne s’est allongée 🙂 On le trouve chez Lavoisier, Décitre, la Librairie Medicale & Scientifique, Eyrolles, etc. et le livre est passé dans le fil du flux des nouveautés de la Fnac ainsi que dans la liste Vigilibris 🙂

En parallèle, les premières critiques et avis d’internautes arrivent ! Jusqu’ici, rien de bien méchant, au contraire 🙂

Dans Flickr : « Livre complet. Un peu petit. Je m’attendais à plus de détails et d’illustrations en couleurs» et un 9/10 à la Fnac : «Super – Ce livre explique la plupart des choses à savoir sur Flickr, de la création d’un compte Flickr/Yahoo à l’utilisation des API sans oublier le projet « Flickr Commons » ainsi que les licences « Creative Commons ».»

Et vous, vous en pensez quoi ? Vous pouvez commenter également le livre dans les groupes dédiés au livre Flickr sur Facebook et sur Flickr 😉

Livre sur Flickr en Français – sortie 12 septembre

la couverture du livre Flickr Bon, j’imagine que tout les habitués du blog sont déjà informés 🙂 Après le livre Facebook, on s’y retrouve, Pearson m’a demandé d’écrire le premier livre sur Flickr en français.

Les premiers envois presse sont en train de se faire ! Je dois encore dédicacer quelques livres avant leur expédition… et il sera disponible dès le vendredi 12 septembre dans presque toutes les librairies et aussi sur Amazon ou la FNAC (il y est déjà en pré-commande).

Cinq exemplaires du livre Flickr dédicassé sont à gagner comme pour Facebook 🙂 Les explications sont en fin de billet.


Le sommaire du livre Flickr

  1. Introduction et historique
  2. L’image et le droit
  3. Inscription et stockage des images
  4. L’organisation de la photothèque
  5. Flickr et vos amis
  6. A la recherche de photos
  7. Flickr et les autres applications
  8. Le compte Pro.

Avec plus de 200 captures illustrant tutoriels, fiches pratiques et explications pas à pas ! Sans compter de nombreux conseils des spécialistes du domaine et le cahier central en couleur.

le « pitch » du livre Flickr

Vous cherchez un moyen simple et économique pour stocker et archiver vos images, partager vos prises de vue des dernières vacances ou promouvoir vos créations ?
Que vous soyez photographe débutant, amateur ou professionnel, graphiste ou simplement amateur d’images, Flickr vous est consacré !

Plateforme d’échange et de découverte, Flickr est, avec plus de deux milliards de photographies hébergées, la plus importante photothèque au monde. Et désormais, Flickr accueille les courtes vidéos !
Mais, comment distinguer vos images au cœur de cette multitude ? Comment assurer à vos photographies la visibilité la plus large ou au contraire garantir qu’elles ne soient accessibles qu’à vos proches ?

Photographe indépendant et formateur multimédia, Éric Delcroix vous livre dans cet ouvrage toutes les astuces et les conseils pour mieux utiliser Flickr.

Vous organiserez vos images au sein d’albums et apprendrez comment leur ajouter des mots-clés ou les géotaguer. Vous découvrirez les différentes méthodes qui garantiront à vos photos une visibilité maximale et vous laisserez guider dans une exploration du travail des autres, à la recherche d’une image spécifique sur un lieu ou un événement.
Au fil de ces pages, vous pourrez également vous enrichir de témoignages de divers artistes disposant d’espaces sur Flickr et partager ainsi leur expérience.
Flickr est aussi une formidable communauté de passionnés, un incroyable espace d’échange et de découverte photographique et de vidéos courtes. Alors, on s’y retrouve ?

des groupes pour en discuter

Vous pouvez rejoindre le groupe que j’ai mis en place sur Flickr ou l’équivalent sur Facebook.

Ces groupes du livre Flickr dans la collection on s’y retrouve !, vous permettront de recevoir :

  • des infos régulières sur le guide de Flickr en français
  • des trucs et astuces pour vous faciliter la vie
  • des mises à jour du guide !

Ce sont aussi des moyens simples de suivre ma veille sur Flickr et l’image numérique donc des trucs, des astuces sur Flickr régulièrement… comme je l’indiquais dans un billet précédent.

Pour la presse

Pour les journalistes et blogueurs influents 🙂 le communiqué de presse est disponible en ligne.

Gagner un exemplaire dédicacé du livre Flickr

Un jeu-concours vous permet donc de gagner des exemplaires du guide de Flickr. Dès aujourd’hui grâce à la cause Facebook : Le livre Flickr – On s’y retrouve est indispensable… et je le fais savoir ! les cinq recruteurs les plus actifs au 30 septembre minuit gagneront chacun un exemplaire dédicacé du livre.

Le nombre de membres recrutés, ainsi que tous les membres recrutés par les membres que vous avez recrutés seront comptabilisés.

En supplément
Pour le fans de Facebook, n’oubliez pas le billet Facebook et Flickr et pour le référencement : référencer ses images dans Flickr ou Picasa. Enfin, méfiez vous, l’image est-elle vérité ? Des portraits pour le dire ! vous éclaireront.

Enfin, le même jour, le 12 septembre, un livre sur MySpace complètera la collection : On s’y retrouve ! Vous pouvez rejoindre le groupe MySpace on s’y retrouve sur Facebook pour plus d’informations 😉

référencer ses images dans Flickr ou Picasa

On parle de plus en plus du référencement des images… dans l’optique (normal on parle d’images) d’une recherche universelle. N’oublions pas que la recherche d’images est le second secteur du « search » à travers le monde. En effet, le référencement s’élargit désormais à de nouveaux types de contenus : images, vidéos, cartographiques…

Pourquoi ne pas utiliser Flickr ou Picasa (par la suite, je parlerai de Flickr mais la démarche fonctionne également pour Picasa) pour nous aider dans ce référencement des photos que nous possédons puisqu’il est souvent conseillé de référencer ses images sur les sites de partage en optimisant légendes et mots-clés ?

Toutefois, s’il est relativement simple de trouver des mot-clés pour un texte (hum, je demande à voir), cela est beaucoup plus complexe me semble-t-il pour les images… et comme je suis en train de « référencer » mes images d’archives et les images actuelles dans Flickr, autant vous faire profiter de mes réflexions (le débat est ouvert) 😉

Pour rappel, les images sont opaques pour la plupart des moteurs de recherche (y compris dans la recherche Flickr) c’est-à-dire qu’ils ne sont pas capables d’indexer le contenu de l’image si celles-ci ne sont pas décrites. Des moteurs spécifiques commencent à travailler sur les couleurs, d’autres sur la reconnaissance de formes… mais ce n’est pas l’objet de ce billet.

Nous disposons donc de 6 ou 7 éléments dans Flickr pour enrichir le contenu de nos images, pour sa description….

  • Les classeurs en version Pro
  • Les albums
  • Le titre
  • La description
  • Les tags ou mot-clés
  • Les informations EXIF
  • Le géotagguage (la carte)

Classeurs et albums

Mais, comment décrire une image ? D’autant que dans le cas des logiciels de partage d’image comme Flickr, plutôt que de mots clés, nous devrions parler de Famille de mots clés !

La première analyse d’une image peut être celle-ci !

  • Qui : ami, inconnu, parent, mon chien, mon chat…
  • Dates : pas seulement la date réellement mais aussi la période de l’année au besoin (Noël, Pâque, anniversaire, automne, hiver, etc.)
  • Lieux : géotag
  • Stockage : Si vous archivez vos images car vous ne diffusez pas sur Flickr les images en haute définition, il peut être intéressant de conserver la trace de l’information du lieu de stockage.
  • Sujets : animaux autos, bateaux, fleur…
  • Domaine : effets spéciaux, macro, paysage, portrait, Noir et blanc, etc.
  • Technique : appareil photo, objectifs, ouvertures, vitesse, ISO, etc.
  • Qualité : Excellent Bon Moyen Non diffusable (pour ceux qui utilise Flickr comme stockage complet)
  • Autres : texture, à traiter…

Première remarque, une partie des réponses sont fournies par données EXIF (Exchangeable Image File) sont produites automatiquement par votre APN (Appareil Photo Numérique), elles vous indiquent la date et l’heure de la prise de vue, ou encore le type d’appareil utilisé. C’est pourquoi il convient de toujours régler avec minutie l’horodateur de votre appareil. De même, certains APN fournissent les informations nécessaires au géotagguage des images (les indications de longitude et latitude de prise de vue).

Mais revenons à nos questions de départ. En fait, si on extrapole cette analyse sur l’ensemble de notre production, assez rapidement, on arrive à définir les grands thèmes que l’on aborde : paysage, nature, nu, portrait, reportage, animaux, fleurs… Il suffit de les ordonner par la suite…

Comme Flickr permet d’organiser ses photos en album et classeurs (un classeur comprend plusieurs albums) et qu’il est possible de glisser une photo dans plusieurs albums… Vous voyez où je veux en venir ? Cette réflexion vous permet de définir la hiérarchise du classement que vous devrez mettre en place pour les classeurs et les albums !

À vous donc de déterminer la structure de votre banque d’images par thèmes et par sujets.Par exemple, le classeur Nature contiendra les albums Flore, animaux, arbres, ciels… celui sur les paysages, les paysages, le classeur sur les voyages, les sets Nord, Pas-de-Calais, Reims, Californie, New-York, Angleterre, Ecosse… dans lesquels on retrouvera des images de paysage, peut-être de flore ou de faune…


Bref, voyez si le classement des classeurs et des albums doit être par catégorie, thème, genre, lieu, temps, ou quoi que ce soit d’autre.

Certains ajoute des classeurs du type des photos les plus populaires, les plus regardées, mises en favoris, qui comportent des commentaires…

Pensez également aux groupes auxquels vous avez adhéré ou adhérez. Il est en effet plus simple lorsque vous êtes dans un groupe dédié aux fleurs de posséder un album ou un classeur dédié ! Il est plus facile ainsi d’ajouter les images au groupe 🙂

Titre des images dans Flickr

Vous pouvez titrer vos images comme bon vous semble, mais il est plus facile pour vous de les appeler avec des mots-clés en rapport avec l’image, sauf si vous souhaitez vraiment apporter un titre spécifique. En fait, c’est la même problématique que pour le titre d’un billet de blog.

Description des photos dans Flickr

La description est la légende de l’image. Elle ajoute du contenu textuel et permet surtout d’ajouter du texte au sein d’une galerie de photos. Les moteurs qui analysent le contexte sémantique de l’image devraient se baser entre autres sur cette légende.

Tentez donc de décrire l’image en répondant aux questions : qui, quoi, quand, où, comment, pourquoi… avec des termes légèrement différents de ceux qui sont utilisés dans les tags (mot-clé), tout en écrivant en français. Quelques lignes, voir 7 à 10 mots devraient suffire.

Tiens, un exemple, qui vient de Wikipédia

Quelques pistes issues de Wikipédia sur les éléments importants à inclure dans la description d’une image.

Monuments

Donnez avant tout le nom complet, ainsi que sa localisation. Exemple : Cathédrale Notre-Dame, Le Havre. Préciser la partie photographiée (façade, portail, clocher, colonne, etc), sa situation (orientation, pièce du bâtiment), l’angle de prise de vue, la distance de prise de vue, le lieu où vous vous tenez, en particulier pour les photos à longue distance.
Compléter ces renseignements par des indications sur le sujet, en particulier s’il peut y avoir des confusions, de style par exemple : date de construction, matériaux, détails architecturaux à souligner, etc., l’architecte ou le sculpteur si possible.

Végétaux

L’essentiel est bien sûr le nom, nom commun et nom scientifique, le nom latin (wikipedia est d’une aide fabuleuse dans le domaine), parfois la famille suffit. Indiquer aussi l’étape du développement : bourgeonnement, premières feuilles quand elles changent de teinte (vert tendre au printemps pour certains arbres, plus sombre ensuite), etc. Précisez le lieu, l’altitude, l’exposition, le type de milieu (terrain humide, inondable, rocailleux) qui explique son implantation et son développement.

Paysages et plans larges

La date est importante, mais aussi l’endroit d’où vous prenez la photo, cela éclaire sur la perspective et peuvent expliquer certains effets (utiliser le géotag par la carte de Flickr). Le lieu doit préciser le continent, le pays… Vous compléterez par une description plus ou moins détaillée des composantes du sujet : éléments naturels (forêts, rivière), monuments ou rues visibles, etc.

Objets

Il est bon de préciser la date de fabrication ou de création, ainsi que la date du cliché et donner les dimensions si nécessaire. Vous pouvez préciser l’histoire de l’objet, ce qui relève de l’état d’origine de l’objet et de l’usure ou autres dégradations subies. Le nom du fabricant (usine ou société) ou de l’artiste.

J’ajouterai pour les personnes

Si cette personne est un tant soit peu connu son nom, mais également le cadre dans lequel a été pris la photo : manifestation, journée spécifique, son âge (jeune, vieux, etc.), l’action que la personne ou le groupe de personne est en train de réaliser, sa nationalité ou son ethni… et des détails physiques. Vous compléterez par une description plus ou moins détaillée des composantes de l’image : vêtements, bijoux, maquillages, etc.

En plus, vous devez considérer l’image comme une œuvre et pas seulement sous son seul aspect documentaire. Il y a mille et une manière d’analyser ou de lire les images. La lecture du cours l’image et sa légende sur La Page des Lettres pourra vous y aider.

Ainsi, vous aborderez les notions de sentiments, de valeurs affectives, de couleurs, etc. Toutes des notions subjectives… Certains recherche les portraits romantiques… Portrait dans la description est objetctif ! C’est un portrait. Romantique ! Non.

Cette zone de description est aussi un moyen de faire pointer des liens texte y compris vers les pages contenant l’image avec des mots clé en rapport avec l’image au besoin.

Les tags de Flickr

Les 75 tags de Flickr laissent dubitatif un référenceur… et pourtant Inscrire un maximum de métadonnées (tags et données EXIF) sur vos photographies revient à les décrire dans le détail, ce qui facilitera leur classement et leur recherche à l’avenir d’un point de vue l’archivage et du catalogage des images (que voulez-vous, il me reste des traces de mon ancienne activité de photographe :-). Et plus les mot-clés précis, plus l’image a de chance d’être trouvée et donc exploitée, même à des usages imprévus. Par exemple, cette image tagguée Cartable qui a été récupéré ici.

Donc, nous devons trouver les mot-clé de cette image… Déjà nous pouvons reprendre les termes des classeurs et des albums contenant l’image. Notre description doit fournir quelques mot-clés également. Ensuite, nous pouvons nous lancer dans une description précise de l’image, sous toutes ses formes, y compris d’un point de vue technique (appareil photo, technique de prise de vue, travail sur Photoshop…).

De plus, certains groupes réclame la présence de tag spécifique pour pouvoir afficher les images dans leur pool. Donc, n’employez pas les 75 tags systématiquement 🙂

Cette limite de 75 mots clés qui semble énorme peut-être toutefois rapidement atteinte. À la différence d’un texte, les images n’ont pas besoin de connaissance de la langue pour être lu ! C’est le domaine de l’international qui s’ouvre à vous 😉 Déjà, les tags en langue anglaise sont « obligatoire ». Et pourquoi pas d’autres langues… Espagnol, Allemand…

Wikipédia qui permet de regarder si le terme employé existe dans une autre langue (en descendant dans la colonne de gauche) est de bons conseils. Panimages, le moteur qui interroge Google Images et Flickr en 100 langues avec la traduction de requêtes automatique est aussi une bonne aide.

Si les tags sont faciles à traduire (en général le titre également), cela est différent pour la description qui nécessite des connaissances de la langue.

Les géotags

Comme je l’écris précédemment, il est important pour de nombreuses prise de vue de préciser l’endroit précis de prise de vue… En plus, avec l’arrivée du nomadisme, cette présence des images sur les cartes revêt de plus en plus d’importance. Donc, je serai tenté de dire qu’il faudrait géotagguer toutes ses images dans Flickr, les placer sur la carte Flickr. Heureusement, le traitement par lot nous aide dans cette démarche…

Maintenant, reste à connaître les liaisons qui peuvent exister entre Flickr et Google Map ou Google Earth… Mais cela fera l’objet, je pense, d’un autre billet 🙂

Reste un facteur… Le temps. Il est en effet relativement long de légender et de décrire complétement une série d’images malgré le traitement par lot…

Enfin, pour ceux qui s’intéressent au référencement sur Google images, on trouve des ressources et informations diverses sur la solution Google de recherche d’images sur le blog Googr :-).

Sinon, une bonne partie d’un chapitre du livre Flickr, on s’y retrouve concerne l’organisation de sa photothèque dans Flickr. Avis aux amateurs 😉

Ce billet est également disponible dans le groupe Flickr, le livre en français et je lance le débat dans le groupe Facebook 😉

Flickr, qu'est ce que vous en dites ?

Bon, je pensais pouvoir dégager du temps libre dans les prochaines semaines.

Mais, j’ai pris goût à l’écriture des livres depuis mon expérience du livre Facebook, on s’y retrouve.En réalité, c’est depuis bien plus longtemps car j’avais plusieurs projets dans ma besace à différents stades d’avancement :-). Et puis, à une époque, j’éditais des supports de cours et, dans le passé, j’ai écrit ou traduit des manuels ou mode d’emploi. Facebook, on s’y retrouve !, étant une commande, c’était « juste » plus sérieux.

Aussi, lorsque l’on m’a proposé d’écrire le livre sur Flickr, je n’ai pas hésité longtemps pour accepter. Je boucle la boucle. Alors que l’expérience de l’agence de presse et d’illustration photo Tour du monde avait capoté (j’étais dirigeant fondateur), au milieu des années 80, je m’étais dit à l’époque qu’il me manquait deux qualifications.

La première dans le monde de la vidéo (je n’ai pas encore assumé cette partie, mais je me forme quand j’ai le temps, c’est-à-dire quasiment jamais) et reste donc un piètre vidéaste.

La seconde, et c’est celle-là qui nous intéresse, l’informatique. En ce moment, je commence à en faire le tour (façon de parler !) 😉 Mais plus précisément, je souhaitais créer à l’époque une base d’image, où je pourrais inscrire facilement les légendes et qui me permettrait d’archiver correctement mes images. Nous ne parlions pas de diffusion, de partage dans ces temps ancestraux, mais comme certains me considèrent comme un spécialiste des réseaux sociaux, le pas est vite franchi 😉

Mais je vous réserve d’autres surprises prochainement qui permettront de me coller d’autres étiquettes 😉

Pour ceux qui le souhaitent, j’ai créé un groupe dans Flickr : livre-flickr.

Voici ce qui est inscrit comme description pour ce groupe : j’espère que vous m’apporterez vos idées, vos réflexions, vos pistes, vos usages, vos joies et vos déceptions suite à l’emploi de ce réseau de partage d’images et une source d’information sur les liens sur Flickr que vous découvrez qui peuvent intéresser la communauté.
Il peut être également une sorte de FAQ sur l’utilisation de Flickr.

La même description a été utilisée pour un groupe Facebook Flickr ouvert pour l’occasion.

Alors, vous de votre côté, pourquoi vous êtes sur Flickr ? Que faites-vous dans Flickr ? Quels sont vos groupes et albums favoris ? Quelles sont vos applications préférées et pourquoi ? Qu’est ce qui vous manque dans cet outil ? allez-y, j’vous écoute 😉