Lille3 (Lille III) est en grève !

Novembre 2007 : Lille3 (Lille III) est en grève ! bis répétita

Si vous êtes étudiants de l’université de Lille 3 ou enseignant, vous le savez la fac est en grève. Je devrais dire les étudiants sont en grève contre le CPE. Après avoir occupé une ou deux nuits un amphi, et suite à la décision de vendredi midi, aujourd’hui lundi, les barrages « filtrants » mis en place vendredi ont été reconduit. Les professeurs sont cependant autorisés à rentrer, ainsi que les étudiants en examens, par exemple.
Aussi, pas mal de profs, d’étudiants… se pose la question : que se passe t-il ? peut-on entrer ?

Donc petit état des lieux. Je compte sur vous pour compléter suivant l’évolution par les commentaires. Je ne suis pas en direct à l’université 🙂 Le propos n’est pas de dire si vous êtes pour ou contre la grève, mais de dire ce qui se passe.
Ce matin, comme je suis enseignant de l’université, j’ai pu pénétrer dans une université vide. J’ai croisé deux étudiantes qui avait cours avec moi. L’une est resté sur le parvis (impossible de pénétrer dans les locaux), l’autre a trouvé un moyen d’entrer et d’arriver à la salle… C’est l’une des très rares étudiantes ou étudiants qui se trouvait à l’intérieur. J’ai compté à peine 20 étudiants à l’intérieur du bâtiment B !

Je devrais avoir des échos cet après-midi. Restez en ligne 🙂

Mise à jour 14 h : Le blocage de la fac a été reconduit pour demain (400 votes pour, une centaine de contre) à l’AG de ce matin… Une nouvelle AG doit se dérouler en ce moment.

Mise à jour le 28 février : Je donne des informations régulièrement depuis ce matin dans les commentaires sur l’ouverture ou non des locaux. Dorénavant, si vous souhaitez savoir si l’université de Lille 3 est ouverte, regardez dans les commentaires en fonction de la date.

Mise à jour le 1er mars : Je reproduis un commentaire que je viens de mettre en ligne. Ce billet, ce blog et ce site n’ont rien d’officiel. J’ai simplement mis en place dans mon blog un billet pour donner un état de la situation. Rien de plus. C’est juste à considérer comme un endroit d’entraide et non la voix officielle d’untel ou d’untel.
Je réitère mes propos : pour être certain du report de contrôles continus ou autres cours, examen, la seule solution à ma connaissance consiste à contacter votre UFR hormis arrangement de toutes natures au niveau d’une classe !

Mise à jour le 7 novembre 2007. Ajout d’un lien en 1er phrase pour rediriger vers le billet de la grève de 2007.

rencontre sur le rapid elearning

Le premier compte rendu des rencontres Blog en nord qui comprenaient trois conférences (quatre en réalité car Adrien nous gratifia de deux conférences) sur le rapid elearning a été mis en ligne. Les étudiants de Master Idemm de Lille3 préparent le compte rendu vidéo et/ou sonores de cette série de conférences sur le rapid elearning.

Plus d’une centaines de personnes : soixante-dix environ dans la salle du C2RP et plus de quarante grâce à Speechi Live sur le net (avec la possibilité d’intervenir dans le débat, ce qui fut fait) participaient à cette manifestation. L’après-midi parue bien courte à l’écoute d’Adrien Ferro, Nicolas Lozancic et Thierry Klein qui nous firent dans un premier temps un rappel sur le elearning, pour arriver au rapid elearning et pour finir sur PowerPoint, axe central, semble t-il de ces technologies.

Les conférenciers ont promis de mettre en ligne leur présentation.
Déjà, Adrien Ferro à mis en ligne, sur son blog de Novantura, ses présentations PowerPoint :

Dès que les présentations de Nicolas Lozanzic et de Thierry Klein seront en lignes, je l’indiquerai.

Pour chacune de ces présentations un billet sera ouvert sur Blog en nord afin que chacun puisse apporter sa contribution et que le débat continue.

Il bloggent à l'école et à l'université ?

Pour continuer le débat sur les blogs et l’enseignement, quelques autres pistes s’ouvrent…
Comme le disait en commentaire des enseignants, des non bloggers ? justement François : professeur, jardinier et bloggueur, ils bloguent… Qui ? les enseignants. La preuve : le blog des projets des espaces numériques de travail (ENT) de FING qui semblent pourtant eux aussi rencontrer des réticences de la part des professeurs.
Autre exemple, celui de l’école de mes filles, qui depuis peu utilise le blog… plus simple à mettre en place et à utiliser qu’un site sous SPIP visiblement (aie, j’vais me faire taper sur les doigts, j’ai le temps de blogger mais pas de m’occuper du site) et qui trouve ainsi sa place sur le web. Pourtant, je peux vous garantir que la personne qui a créé et anime ce blog manque de temps, etc. (la liste est là !).
Mais dans le fond arrêtons de chercher des excuses… Pourquoi des enseignants ne bloggent pas ? Pour certains d’entre eux (une majorité ?) tout simplement parce qu’ils n’en ont pas envie, comme dans chaque corps de métier. Le blog, je l’ai déjà dit dans un précédent billet, n’est pas la panacée. Le problème est-il identique pour le primaire, le secondaire, le supérieur ? Je ne le pense pas même si des freins identiques existent à tous les niveaux. Si des usages des blogs et des TIC peuvent être commun, chaque classe d’âge à ses propres utilisations des blogs.

Les blogs et l’école, c’est aussi les jeunes… Eux bloggent, on en est certains. Mal, peut-être, mais ils bloggent. L’initiative de Stéphanie Booth (auteur au passage de l’excellent site Pompage.net qui donne des conférences sur les weblogs (et l’internet social) dans les écoles ou associations d’une durée de 45 minutes à 1 heure est à souligner. Elle est en Suisse ! Dans le supérieur, je serais surpris du nombres de blogs, de qualité, parmi nos étudiants… Ce ne sont pas seulement des blogs individuels, ce peut-être aussi des blogs collectifs qui diffusent des informations administratives, d’échanges le plus souvent privé… Chut, je suis censé ne pas être au courant 😉 Je suis prof.

D’ailleurs, personnes jusque là dans la série d’articles que j’ai pu consulter suite à la publication de
l’AMUE ne s’intéressait aux étudiants : François Briatte, étudiants en master 2 Recherche (DEA) à l’Institut d’Études Politiques de Grenoble fait remarquer que « l’article » (c’est pas moi qui le dit !) ne présente les blogs d’étudiants que sous l’angle de travaux encadrés par un enseignant. Il replace également le problème au niveau international. Enfin, il devrait donner une suite à ce billet sur Le lent éveil de l’Université à l’égard des blogs.

François Briatte veut également relancer son ancienne liste de blogs universitaires. Avec la carte Frappr! francoblogsciences d’Olivier, et la liste du feu : Le blog de l’enseignement supérieur (sera t-il récréé un jour ?), voilà qui offrent la possibilité de découvrir d’autres universitaires bloggers…

Notons également l’intéressant remarque de Vagabondages dans les blog et enseignement : Est-ce à dire que les enseignants ne peuvent pas blogger ?

J’ai découvert le site de François Briatte grâce au billet des Actualités de la recherche en histoire visuelle.

Mise à jour 23 janvier :
Un commentaire dans le billet : Les enseignants, des non blogueurs ? m’a permis de découvrir le blog du Canadien Philippe Martin. Une excellent série de billets intitulés : Les différentes sortes de blogs concernent notre débat actuel.

Diffusion des savoirs sous différentes formes

Je suis « en plein » dans la diffusion des savoirs aussi je retiens la possibilité de l’école normale supérieure qui diffuse une multitude de séminaires, conférences, etc. en ligne sous forme de fichiers audio et sous forme de vidéos (de l’extrait à l’enregistrement complet), accompagné parfois de quelques PDF…

Mais la présentation d’un cours auquel à assister Jean-baptiste Soufron et qu’il décrit dans une démonstration de l’utilisation d’un wiki et d’une connexion wifi pour une présentation a retenu mon attention. En présentiel, un mélange d’utilisation spécifique de Powerpoint, de connexion Internet par Wifi par les étudiants équipés de leur ordinateur et tous reliés au Wiki de leur groupe de recherche… Cela pourra paraître effrayer des enseignants (ce fut mon premier réflexe, je me suis dit : «je ne me vois pas donner un cours comme celui là». Puis quelques heures plus tard, je me dis : «Pourquoi pas !»

Cette « expérience » est à rapprocher du backchannel que nous présente L2M (nouveau nom de Loïc Le Meur), dans son livre Blogs pour les pros (la preuve que je suis toujours entrain de le lire 🙂 ) et qui mélange également de Wiki et de Wifi.

Mais comment oublier en ces temps, le e-learning, qui possède un nouveau portail sur le e-learning et la e-formation : formalize. Ce portail sera-t-il éphémère ? (en effet, dans leur dossier de presse, il est indiqué que la durée du projet est de 8 mois ?). D’ailleurs, est-il déjà « mort » puisque les informations s’arrête en fin d’année 2005, quelques jours après son apparition sur la toile… Au passage, est-ce une structure indépendante ? une émergence de l’IUT Toulon Var ?

Le blog d’Alexandre Mauric spécialisé en e-formation est également nouveau… D’ailleurs, on y apprend au détours d’un commentaire que Formalize est en fait un projet étudiant de l’université de Toulon mais on ne sait toujours pas si le projet survivra aux étudiants.

Le blog de Claire Garcin n’est pas nouveau… mais, Comment humaniser l’apprentissage synchrone à distance ? reprend une traduction synthétique de la thèse de Kat Barclay Humanizing Learning at Distance intéressante.

Le monde de l'éducation, Tic et blog

Je ne pensais pas en écrivant mon billet Les enseignants, des non bloggers ? être ainsi dans l’air du temps.
Depuis, j’ai découvert l’article d’educa.ch sur les Obstacles à l’intégration des TIC à l’école lui même écrit suite à la publication sur le site de l’EPI (Association Enseignement Public & Informatique) de proposition de taxonomies par Robert Bibeau pour les TIC à l’école.

L’Amue (Agence de Mutualisation des Universités) par l’intermédiaire de l’actualité des universités nous gratifie d’un soi-disant reportage sur les blogs et l’enseignement supérieur (je vais encore me faire des amis… en effet, je ne sais crois pas, que les bloggers choisis représentent correctement la réalité du monde des bloggers de l’enseignement supérieur… Nous ne devons pas connaître les mêmes bloggers mais peut-être est ce moi qui me trompe). Je préfére à cette « publication » découverte sur La feuille les autres liens qui sont proposés dans le billet Blogs et énonciation scientifique : sur Urfist Info Autorités énonciatives et espaces de publication et de référencement et sur Toujoursplus Les blogs et l’enseignement supérieur même si je ne suis pas de son avis sur l’ensemble de son billet…
De là, à retrouver une intervention d’Olivier Ertzscheid sur le sujet, il n’y avait qu’un pas To blog or not to blog qui au passage est l’un des rares (J’attendais d’avoir un peu plus d’informations pour en faire également un billet) à mentionner le proviseur révoqué pour avoir bloggué . ouf, je me reconnais dans cet universitaire… (au passage, Olivier, des centres de formations privés peuvent prendre la rélève pour former sur les blogs les universitaires, j’en connais un ;-))

Enfin, les rencontres d’Autrans 2006 proposent différents comptes rendus concernant l’enseignement : les scénarios éducation à 10 ans  ; ma journée d’étudiante en 2016 et À quoi ressemblera l’école du futur ? .

Les enseignants, des non bloggers ?

Dans un billet : Pourquoi les profs ne bloguent pas ?, François Guité constate que les professeurs ne se trouvent guère sur les blogs… car selon lui ce moyen de communication convient peu aux enseignants (surtout les enseignants du primaire et secondaire).
Voici les raison énoncées :

  • Manque de temps
  • La fatigue
  • L’individualisme
  • L’insécurité professionnelle
  • Le retard technologique
  • Une incompétence en écriture
  • L’immobilisme

Jacques Cool lui répond par blog interposé… Je retiens juste la conclusion : Oser, oser, oser ; Soutenir, soutenir, soutenir.

Je reste assez dubitatif sur une grande partie de cette liste de freins… Reprenons les un par un.
Le manque de temps ! Cela je dois avouer me surprend toujours… Et lorsque l’on me dis que c’est certainement la principale raison pour laquelle les profs ne bloguent pas, je ne partage absolument pas cet avis. Cela me rappelle une revue syndicale d’enseignant dans laquelle le décompte des heures de travail d’un prof lui donnait des journées de travail de 25 h… 🙂 Non, revenons sur terre. Je ne dis pas que les enseignants n’ont pas de boulot en dehors des heures de présence en classe. Mais, je vous rassure, appartenant aux deux milieux : enseignants et monde de l’entreprise, les profs ne sont pas les seuls ! D’ailleurs pour vous en convaincre regarder les heures de publications de certains blogs de personnes hors enseignements. Vous serez assez surpris. Ils n’ont pas le temps mais ils le prennent comme certains enseignants que je connais autour de moi d’ailleurs.

La fatigue… Bon, il est toujours difficile de répondre à un argument massue : «des études ont démontré que l’enseignement est l’une des professions les plus stressantes». Oui, bien, bon les enseignants sont stressés… OK… Ils sont stressés par quoi, par qui ? Pourquoi ne destresseraient-ils pas justement en tenant un blog ? Je ne vois pas le rapport stress-blog… Au passage, je ne crois pas que stress et fatigue soient synonyme… Une personne qui travaille en poste de nuit à la sortie d’un laminoir est peut-être fatiguées mais pas stressée…
L’individualisme n’est pas un critère de rejet des blogs. Je pense que les nombreux entrepreneurs individuels, solos, indépendants, free-lance sont tous d’affreux individualistes (moi le premier !). Cela ne les empêche pas de tenir leur blog…

Je ne pense pas que l’immobilisme soit propre au monde de l’éducation…

Le retard technologique est un argument de poids… Ce n’est pas parce que l’on est enseignant que l’on connaît l’informatique, que l’on utilise l’ordinateur, que l’on navigue sur internet… et quand bien même, le transfert vers l’utilisation des TIC en classe ou entre enseignants est loin d’être atteint. Il y a d’énormes différences entre : je peux et je veux, je veux et je peux, je veux pas et je peux pas, je peux et je ne veux pas… Il serait un jour intéressant d’avoir une stat. non-langue de bois sur ce sujet concernant les enseignants. J’entends souvent (situations vécus) le discours officiel : «nous allons faire de l’informatique en classe» et en discours privé : «l’informatique, ce n’est pas adapté à l’enseignement. Je vais me renseigner auprès d’un copain parce que je n’y connais rien en informatique» ou comme autre réponse «ah, oui, j’ai suivi une formation informatique. Maintenant je sais allumé un ordinateur, mais c’est impossible que je m’en serve en classe !». Bref, la partie n’est pas gagné d’avance. Les générations futures auront intégrées l’informatique comme outils… mais d’ici là d’autres technologie seront apparu…

L’insécurité professionnelle est un item mal choisi… j’aurais préféré crainte des autres ou/et incompétence (que je regrouperai avec incompétence en écriture)… Les enseignants craignent d’être jugés est-il indiqué dans l’article. Quelque part on peut se demander si les enseignants sont un jour sorti de leur rôle d’étudiants. « Monsieur, Untel triche sur moi» ! J’ai l’impression que non. Le seul jugement qui est important à leur yeux, et celui là il le craigne alors qu’il est sans conséquence sur leur travail, la visite de l’inspecteur qui doit les noter ce qui permettra aux enseignants de gagner plus rapidement des échelons (salariaux) si cette notation est bonne… Et je corrobore entièrement l’avis de Mario Asselin (qui dirige l’EduCarnaval français) dont je cite le commentaire : « Pour certains, le premier pas à faire consiste à accepter l’idée de se voir faire; accepter de recevoir un feed-back de ses élèves, des parents de ses élèves ou de ses collègues ou d’un accompagnateur (C.P.) ou d’un superviseur (membre de la direction). Je suis encore stupéfait du nombre de personnes qui oeuvrent dans les écoles depuis longtemps tout en «ayant appris» comment contourner la moindre occasion de recevoir un feed-back. L’écoute sélective, les stratégies de fuite et d’évitement ainsi que la paresse intellectuelle et le laisser-aller font malheureusement partie «des armes» qui composent un genre de coffre à outils occulte de bon nombre de professionnels.» Arrêtons le «maître dans sa classe» ! le rôle de l’enseignant est également modifié. Hier, grand possesseur du savoir, il le distribuait à ces élèves, aujourd’hui, il l’échange avec ses élèves.

Pour ce qui est de l’incompétence, je confirme celle en écriture. Je suis toujours surpris du nombre d’erreurs de grammaire ou d’orthographe de la part de «nombreux» enseignants de l’école primaire, la rédaction n’en parlons pas. Je connais même un prof de français, donc dans le secondaire, qui ne sait pas écrire une ligne sans une faute. Il le reconnaît lui-même. Mais cette incompétence est peut-être plus profonde… Je n’en sais rien c’est une question que je me pose : qui sont les enseignants d’aujourd’hui ? Voici la réponse que je me donne : la plupart sont des étudiants qui voyant leur niveau insuffisant se sont dit « pourquoi pas l’enseignement ». Je pense ou j’ai le souvenir de l’importance du maître, des professeurs, etc. bref des enseignants dans le passé pas si lointain. Mais, c’était un choix délibéré de la part des élèves de devenir enseignant à quelque niveau que ce soit, pas un pis aller… Être enseignant représentait quelque chose d’important… Qu’est ce que cela représente aujourd’hui d’être enseignant ? C’est sûr que si l’on fait un boulot à reculon, pourquoi produire d’avantage pour se travail.
D’autres éléments sont peut-être à prendre en compte dans le secondaire que je connais beaucoup moins.

Mais, blog et TIC : même combat… Je ne pense pas que l’un soit mieux loti que l’autre… Il suffit de regarder la conférence Favoriser l’intégration des TIC en pédagogie universitaire : quelles sont les étapes pour aller au-delà de la présentation de diapositives ? de Thierry Karsenti sur le site Internet du Carrefour de l’information. Thierry Karsenti (Chaire de recherche du Canada sur les technologies de l’information et de la communication (TIC) et l’éducation) présente les résultats d’une enquête réalisée auprès de 709 formateurs universitaires sur les usages des TIC en pédagogie universitaire. Sans surprise la plupart des enseignants se limitent à PowerPoint et, dans une moindre mesure, aux emails avec les étudiants.
Pourtant certains essaient de donner des idées… comme le faux témoignage du café du professeur McHale : blogs, RSS et signets partagés en classe
Les actes du Colloque CREPUQ (Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec) du 3 mai 2003 Enseigner à l’ère du numérique complétera le panorama de cette vision du monde enseignant. Je conseille la lecture du Rapport de synthe?se des tables rondes : Enseigner a? l’e?re du nume?rique, qu’est-ce que c?a change pour le professeur ? Tout un programme !

Bon, et si maintenant on commençait à recruter des enseignants qui connaissent déjà l’informatique en dehors de leur domaine de compétence ?

Ziolrooski par ci, ziolrooski par là

Un commentaire au sujet du billet Arrêtez d’enseigner le HTML en classe ! m’a surpris. Pourquoi, je ne saurais le dire. En tout cas, j’ai suivi le lien qui m’était indiqué. Une page entière consacré à Ziolrooski mais toute noire, au texte caché…
Curieux, je cherche à en savoir un peu plus sur ce fameux Ziolrooski !
Quelques recherches plus loin, j’apprends que Ziolrooski est un concours de referencement organisé par le Master 2 E-Communication Vente (ECV) de l’Université d’Auvergne et Référencement Manuel et ouvert à tous les étudiants disposant d’une carte d’étudiant valide comme ce fut le cas pour « mangeur de cigogne » ou « Sorcier Glouton » pour les plus grands.
L’objectif du concours est d’être référencé dans Google sur le mot Ziolrooski en agissant uniquement sur le référencement naturel du site web sous forme de championnat (chaque résultat le vendredi à 16 h) et d’une coupe : finale le 31 mars.

Conlusion : ne cherchez plus qui est Ziolrooski et j’ai peut-être donné un p’tit coup de pouce à ceux qui m’ont permis de découvir qui se cachait derrière ce nom. Ne négligeons pas les informations qui sont également fournis sur le référencement pour les débutants.

des stages d'étudiants IDEMM

Comme j’ai entendu dire que certains étudiants sont déjà à la recherche d’un stage (6 mois à partir du 1er avril), n’hésitez pas à me laisser un message si vous désirez en accueillir un ou une dans votre établissement.
Vous trouverez leur présentation sur le blog des étudiants Idemm : http://idemm.joueb.com/ (j’espère qu’ils changeront la nouvelle couleur de leur blog 😉 Pour excuse, nous n’avons pas encore atteind les cours sur l’aspect graphique des sites.
Certainement courant décembre, vous devriez voir apparaître les premières infos sur le site sur le Rapid elearning qu’ils préparent activement.

Cependant, qui dit stage dit mémoire et Cursus les gratifie d’un opuscules au format pdf. Il provient même de Lille3, de l’UFR de Mathématiques, Sciences Économiques et Sociales. Il s’agit du Petit guide à l’usage du redacteur d’un mémoire ou d’un rapport de stage de 20 pages (329 Ko) rédigé par Pierre COURONNE, en de?cembre 1999.
Une information à compléter évidemment, par les autres liens que j’ai déjà pu donner sur les mémoires ou sur les références bibliographiques (bibliographie)…

Logiciels Libres pour Windows : LoLiWin, pour Mac : LoLiMac

Même si je ne suis toujours pas persuadé des vertus et de l’avenir des logiciels libre (voir mon dernier commentaire au billet Logiciels et radios libres sur le blogs.ZDNet.fr ; je sais que nombreux sont les étudiants intéressés par les logiciels libres… L’un des problèmes de ces logiciels : ils sont fréquemment mis à jour. Le site de LoLiWin permet de télécharger gratuitement un CD-ROM, une compilation de logiciels libres « indispensables » pour l’utilisation quotidienne de son ordinateur, régulièrement mis à jour, ce qui évite de courir le web à la recherche de la dernière version. 39 logiciels répartis dans 8 catégories composent la compilation.
L’équivalent pour Apple Mac OS X, orienté également bureautique s’appelle LoLiMac.

Attention au poids des fichiers. LoLiWin : 661 Mo et LoLiMac : 363 Mo.

PVT, du travail au canada ?

Hier soir je dinais avec des anciens étudiants du dess MSM (actuel master IDEMM) car l’une d’entre eux s’envole prochainement pour le Canada.
Elle part grâce au Programme Vacances Travail, connu également sour l’acronyme PVT, qui permet aux
ressortissants français et d’un certain nombre de pays de se rendre dans 4 pays au choix pour une durée d’un an. Ces pays sont les suivants : Canada, Nouvelle Zélande, Australie et Japon. Ce programme PVT, permet d’obtenir un permis de travail ouvert d’un an, sans avoir trouvé d’employeur au
préalable.

Lucile se rend à Toronto… Si vous avez des pistes à lui fournir pour trouver un emploi sur place, en relation avec ses études alliant médiation, multimédia et FLE (le programme de la formation des Dess MSM était proche de celui de Master Idemm), n’hésitez pas à laisser un commentaire. Je suis certain qu’elle consultera ce billet régulièrement, à moins que vous ne souhaitiez me laisser un message que je lui transmettrai.


Et encore merci à Lucile pour ces liens sur les sur les pvt au Canada et d’une manière générale sur les PVT pour ceux qui désirent obtenir des informations sur ces sujets.